Quasiment un an avant l’indépendance de la Guinée, le 31 décembre 1957 était publié au journal officiel de la Guinée française un arrêté signé de Keïta Fodéba, ministre de l’Intérieur du gouvernement de la « loi-cadre », portant suppression sur le territoire de la Guinée de la « chefferie coutumière ».
Beaucoup influente et considérée comme un levier de l’administration coloniale, la chefferie traditionnelle était disait-on un éventuel frein à l’indépendance, donc, sans cette suppression, le non au référendum du 28 septembre 1958 aurait beaucoup du mal à passer.
C’est d’abord le 02 janvier 1956 que la chefferie coutumière en Guinée commence à être menacée par l’administration coloniale, le 14 avril 1956, dans une circulaire, le gouverneur de la Guinée envisage une réforme de la chefferie en Guinée.
Le 27 novembre 1956, les chefs coutumiers tiennent un congrès à Dakar où ils créent l’Union fédérale des Syndicats de chefs coutumiers, mais la loi-cadre de 1957 anéantit leur espoirs, le 31 décembre 1957 donc, la chefferie coutumière est supprimée en Guinée française.
C’est pourquoi la Guinée est le pays le plus indépendant et avancé de l’Afrique occidentale française. Félicitations.
Le ministre de l’intérieur du gouvernement de la loi cadre 1957 très bien connue par la première génération, avait signé le décret de sa mort et de celui de toute une génération d’intellectuels de la guinée française par l’ignorance dans la précipitation, dans une mauvaise direction que la guinée ne s’ensortira jamais pour 100 ans d’indépendance. Sacrifiant les générations qui devraient suivre dont nous sommes aujourd’hui.
avec la 5ème colonne et le camps Bouaro de Conakry.
<Dans un village africain, on ne tue pas les sages et les faire disparaître accompagnés de toutes leurs connaissances pour espérer une prospérité qui se limite qu'à Conakry, alors que le reste du pays à été vendu au diable l'indépendance. -Car Dieu qui à créé la chefferie traditionnelle avec des foudations devines pour l'évolution de chaque société civile selon sa volonté à été désobéi.
-La souffrance de la guinée ne vient pas des régimes précédents, ni de leurs politiques, ni de leurs échecs. on aurait dû chassé les colonisateurs et maintenir les sages avec respect et obtenir leurs contributions adaptées à chaque peuple et sa culture, ses coutumes, ses traditions et sa dignité.
C'est ce que la Côte d'Ivoire, le Sénégal, et d'autre pays Africains ont fait. Aujourd'hui, la nouvelle génération guinéenne, <> qui sont tous passés en guinée n’arrivepasàcomprendre, Pourquoi ? un pays hyper riche de 13 à 14 millions d’habitants vivent dans une misère sofistiquée, un chômage chronique, une corruptions incontrôlable de toutes sortes. d’où vient l’origine de notre stagnation? malgré que nous aimons notre chère guinée. Même si Dieu accorde la grâce à une minorités de guineens de réussir matériellement et socialement, <>.
Aujourd’hui où vas-tu notre chère guinée après 64 ans d’indépendance ?
1
Anonymous tu as très bien remarqué
une réalité un contournable