L’atelier de renforcement des capacités des Medias, communicants des partis politiques et autres activistes sur les réseaux sociaux sur la communication sensible aux conflits a démarré ce lundi 14 septembre 2020 à Conakry.
Cette activité permettra de contribuer a apaiser le climat socio politique de la Guinée en vue de prevenir les risques d’émergence des violences à l’approche de l’élection présidentielle du 18 octobre 2020.
Cet atelier de formation est une initiative d’un consortium de la société civile sous l’appui financière d’OSIWA. Dans son discour de bienvenue, Amirou Diawara porte porte-parole du dit consortium a dit l’importance que son organisation accorde à la formation des journalistes” nous sommes là pour former les journalistes à être les vecteurs de paix et des lanceurs d’alerte en cas de violations des droits humains . Et cela pour ne pas que les élections présidentielle soient des élections conflictogene mais des élections apaisées dans un climat de sérénité.”, affirme t’il
Aucours des cinq jours de formations, les participants seront outiller sur plusieurs questions liées au journalisme sensible aux confilts . Sosthène Nsimba est formateur
“il s’agira de rappeler certains droits et devoirs des medias , certains principes clés du rôle du journaliste pendant les periodes de conflits. C’est aussi aider les journalistes à être mieux preparer pour prevenir certains conflits violents mais aussi prévenir et resoudre certains problèmes qui peuvent se poser quelques soit son media , son appartenance politique, religieuses ou tout autre. On estime que ces journalistes seront mieux outiller pour passer ces moments avenir avec sérénité.” Nous confie t’il
le représentant de l’union des radios et télévisions de Guinée s’est réjouit de cette initiative. Cheick sadibou Ndoye reste convaincu que ce present atelier de formation permettra de lever certains équivoques concernant la responsabilité du journaliste en période de conflit.
“nous avons un rôle important à jouer pour preserver la paix et la cohesion sociale, donc je vous invite à plus de responsabilité, de rigueur, de professionnalisme dans la collecte, le traitement et la diffusion de l’information.” , a-t-il conclut
Les travaux vont donc se poursuivre à conakry jusqu’au 18 septembre 2020.
Madeleine Kotus